Une zone de confort pas si confortable
Le terme de zone de confort peut être trompeur, il s’agit plutôt de la zone « connue ». Elle n’est pas toujours confortable mais c’est dans cette zone que l’on se « conforte », celle où sont ancrées nos habitudes et notre expérience. Il n’est pas envisageable de rester en permanence dans cette zone car notre environnement est en perpétuel changement. La folie, c’est se comporter de la même manière et s’attendre à un résultat différent. Einstein Les 3 zones de la confiance en soi Côté confiance, nous évoluons au sein de trois zones. Chacune des zones correspond à un degré de confiance. Selon les situations, nous nous trouvons soit en zone de confiance (confiance totale), soit en zone de risque calculé (confiance limitée), soit en zone de panique (aucune confiance). Les frontières de ces zones sont mobiles. La zone de confort c’est cet espace en nous qui regroupe toutes les situations que l’on connaît et que l’on maitrise plus ou moins. Elle est ancrée sur nos habitudes, les choix sont relativement simples et les décisions se prennent facilement. Elle se base sur nos expériences passées. Qui a dit que la zone de confort était confortable ? Rester dans cette zone c’est ne prendre aucun risque et ne pas vouloir que les choses changent mais a-t-on vraiment envie de rester dans une situation désagréable même si elle est connue ? Alors comment faire pour se sortir de ce genre de situation qui nous déplaise ? En faisant un pas hors de notre zone de confort, nous entrons dans une zone de risque calculé. C’est un lieu d’apprentissage. Traverser cette zone suppose de faire l’effort de se frotter à ses limites (le dépassement de soi ?). Concrètement, c’est dans cette zone que vous retrouver le stress avant le passage d’un examen ou le tract avant de passer sur scène. Mais attention à ce que la situation ne génère pas un stress intense qui vous fait alors passer dans la zone de panique, celle qui nous faire perdre tous nos moyens. En terme de confiance, elle est donc totalement contre-productive. Retenons Le manque de confiance en soi n’est pas une fatalité, ça se travaille, ça se reconquiert ! Si vous ne savez pas par où commencer, faites-vous accompagner par un spécialiste de la confiance en soi.