La kinésiologie pour explorer ses peurs et ses besoins

Derrière chaque émotion se cache une autre émotion, un besoin ou bien une peur. Par exemple, derrière la colère peut se cacher la jalousie, un besoin de reconnaissance ou la peur se faire rejeter. Nous pouvons nous sentir submergés par nos émotions, ne pas les comprendre ou ne pas avoir envie de les comprendre. Nous avons parfois des réactions exagérées, des comportements invraisemblables. Nous ne nous rendons pas forcément compte de ce qui se passe jusqu’à ce l’un de nos proches nous en fasse la remarque ou alors qu’on se rende compte que « trop, c’est vraiment trop », « tout ça n’est plus supportable ». Il s’agit souvent, en premier lieu, d’un comportement inconscient, subtil et présent depuis longtemps auquel on s’est habitué, « c’est comme ça ». Il y a un petit côté fataliste, « je suis comme ça, c’est dans mon caractère ». Aller en séance de kinésiologie, c’est souhaiter comprendre notre propre fonctionnement et vouloir engager du changement. Mais attention ! Ne vous posez pas ces questions si vous n’êtes pas prêt à entendre les réponses ! Le déni est un « merveilleux » mécanisme de protection. Le déni est une protection mentale, elle nous permet de modifier notre réalité pour nous protéger, pour éviter à notre cerveau de « court-circuiter ». Si cette protection est nécessaire à un moment donné, elle peut devenir handicapante à la longue. Métaphoriquement, il s’agit d’une béquille nécessaire à un moment donné pour soulager notre blessure. Aujourd’hui, cette béquille n’est plus indispensable, elle peut nous donner une démarche un peu claudiquante mais son côté rassurant prévaut à notre allure. Venir en séance de kinésiologie, c’est prendre conscience de cette béquille et retrouver notre équilibre. Et vous, avez-vous des sujets que vous repoussez systématiquement sous le tapis et que vous n’êtes pas encore prêt à affronter ?